"Candaulisme pour d�butants" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur de plaisir. Olivier, un auditeur tr�s fid�le, m'a envoy� ce texte. Pour �tre tout � fait sinc�re, ce n'est pas un th�me qui me tient particuli�rement � coeur. Mais moi, je ne juge pas. Ce n'est pas le but de ce podcast. Bien au contraire... J'ai appr�ci� la gourmandise de sensations, l'excitation avec laquelle il a r�ussi � construire un r�cit l�ger, joyeux, un peu gauche mais sinc�re et sexy, tout en douceur. Et je tiens � le f�liciter encore une fois. J'aime quand mes auditeurs ont le courage de se d�voiler, tout en confiance. Une confiance dont je me sens tr�s honor�e. Et comme dit l'adage: "tout le plaisir est pour moi". Euh, et j'esp�re pour vous aussi. Allons-y pour ce nouvel �pisode. *** J�ai lu un jour qu�il valait mieux commettre un p�ch� avec ferveur... qu'une bonne action sans enthousiasme. Et cette phrase me revient en boucle, quand je repense � cette randonn�e de l��t� dernier. Nous �tions partis pour 15 jours dans une petite station de Haute Maurienne. On fl�nait dans la station en fin d�apr�s-midi, lorsqu'on a crois� le moniteur en charge de l�escalade. Il avait encadr� l�une de nos activit�s sportives quelques jours plus t�t. Un bonsoir poli et puis ma compagne me dit doucement: � il a quand m�me une jolie gueule de montagnard, ce moniteur �. J�ai souri, sans faire plus attention � cette remarque. Elle faisait parfois ce genre de r�flexion quand elle croisait un beau mec. J�avais bien souvent essay� d�imaginer quelles pourraient �tre mes sensations, ou mes �motions si je devais la voir se faire prendre par un autre homme sous mes yeux. Nous en avions m�me fait des jeux de r�le, mais il n�avait jamais �t� question de les concr�tiser. Le surlendemain nous avions pr�vu de faire une randonn�e sur les sentiers environnants. Au programme : balade et pique-nique en altitude. Il nous a fallu 3 bonnes heures avant d�arriver au Carrelet, le coin parfait pour faire une pause et profiter d'une magnifique vue sur la vall�e. On s'installait pour notre pique-nique, lorsque nous avons entendu, en contrebas, le bruit des pas d�un autre randonneur. Surprise, c'�tait notre beau grimpeur. Apr�s des salutations polies, il nous raconte que c��tait son jour de repos et qu�il aimait venir se ressourcer dans "sa" montagne. Nous lui avons propos� de se joindre � nous pour le repas. On a appris plein de choses sur la vall�e puisqu�il en �tait originaire. On avait apport� une bouteille de ros� qu'on avait r�ussi � garder bien fra�che. Moi, je ne bois pas, alors ils ont partag� une bouteille pour deux. La chaleur et le vin aidant, les joues de ma compagne s�empourpraient et elle s�exprimait de plus en plus gaiement Elle �tait belle, ainsi... J�ai eu besoin d�aller me "d�gourdir un peu les jambes" et je suis all� voir la vue de l�autre c�t� d�un amas rocheux qui nous surplombait. Ah, se vider la vessie depuis le toit du monde! Quand je suis revenu, j�ai remarqu� de loin que les deux avaient une discussion anim�e et rieuse. D�instinct, je suis rest� � mon poste d�observation. Ils s��taient rapproch�s l�un de l�autre pour faire un selfie avec la vall�e pour d�cor. Une fois la main autour de sa taille, le moniteur en profita pour laisser son autre main glisser sur la cuisse de ma compagne. M�me si la saison �tait d�j� bien avanc�e et que les touristes se faisaient plus rares, ce geste me semblait assez os�... dans un endroit o� l'on pouvait se faire surprendre � tout moment. Honn�tement, d'abord je fus piqu� par une pointe de jalousie. Mais bizarrement, je me suis rendu compte que je bandais all�grement, en voyant cet homme aussi entreprenant avec ma ch�rie. Je d�cide alors de rester � l��cart, pour jouer au voyeur. Aucun son n�arrivait jusqu�� moi, mais je la voyais rire aux �clats. Lui, il avait la main baladeuse, ce qui ne semblait nullement la g�ner. Visiblement, le m�lange: bel homme, belle vue et une pointe de climat estival l'avait rendue tr�s r�ceptive aux avances du moniteur. Qui se fit plus audacieux en remontant sous sa jupe. Elle se raidit un peu, regarda autour d�elle mais... � ma grande surprise, elle ne repoussa pas le jeune homme ind�cent. Au contraire, je la vis �carter l�g�rement les jambes pour offrir un acc�s plus ample � son explorateur. La main disparut compl�tement de ma vue au moment m�me o� les deux s'embrassaient � pleine bouche. Je devinais qu'il avait atteint son calice quand elle se cambra l�g�rement. D'une main, il prenait possession de l�intimit�. L�autre main se promenait sur le reste du corps. Elle adorait visiblement le doigt� du grimpeur car elle �tait offerte, les yeux clos. Elle profitait de l�instant. Il ne fallut pas longtemps avant que je ne voie le corps de ma ch�rie se tendre, dans une position que je connais bien. Je ne l�entendais pas soupirer mais... elle venait de jouir aux c�t�s de celui qui �tait maintenant son amant. Elle regardait autour d�elle, le rouge aux joues et souriante, et, en pensant � l�abri de tout regard, elle se retourna pour ouvrir la braguette de l�homme qui venait de lui faire prendre son pied. Elle sortit sa queue sans plus de c�r�monie. Je savais qu�elle le faisait ainsi, quand elle �tait d�humeur coquine. Elle commen�a � doucement branler notre ami. Des gestes amples et lents. Il semblait beaucoup aimer cela. Elle le fixait dans les yeux, tout en acc�l�rant le mouvement. De ma position d�observateur, je pouvais presque ressentir le plaisir de cet inconnu dans la main de ma femme. Il semblait respirer fort, comme en plein effort d�escalade. Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, elle se pencha enfin pour le prendre en bouche. Je la savais dou�e en fellation. Tiens, lui aussi semblait �tre d�accord avec moi. Elle le su�ait avec d�lice, pendant qu�il lui caressait les cheveux ou les seins � travers son t-shirt. Elle devait adorer �a: je la vis passer les mains derri�re son dos, tout en gardant le sexe en bouche, pour d�grafer son soutien-gorge, et offrir sa poitrine aux caresses de cet amant. Qui s�en donnait � c�ur joie, malaxant joyeusement les seins de ma femme. Visiblement, ma ch�rie en voulait plus car elle se leva, fit glisser sa culotte le long de ses jambes et, prenant appui sur une rambarde toute proche, elle offrit sa croupe � la vue de son compagnon de jeu. Qui ne se fit pas prier pour caresser ses fesses et son sexe que j�imaginais tremp� de d�sir. Il se glissa en elle pour la baiser debout, en pleine nature. A un moment donn�, il se pencha vers elle pour lui dire quelque chose � l'oreille. Je la vis le reprendre en bouche, et il ne tarda pas � venir ainsi. Et j'imagine qu'elle avala son jus, jusqu�� la derni�re goutte, pour ne laisser aucune trace. Quelques sourires complices et les voil� qui reprenaient tous les deux leurs esprits, comme si de rien n'�tait. Autant vous dire que j��tais dans un �tat d�excitation avanc� d�avoir vu ma ch�rie se laisser aller ainsi avec un autre homme. Je bandais de tout mon �tre. J�ai d� patienter quelques minutes, avant de pouvoir sortir de ma cachette. En revenant vers notre pique-nique, aussi naturellement que possible, j��tais tout sourires. Quand elle me regarda dans les yeux, je ne pus m'emp�cher de lui faire un clin d��il. Elle devina que j�avais tout vu. Elle rougit un peu, mais... devant ma mine ravie, elle se contenta d�un sourire complice. Personne n�aborda le sujet et chacun repartit sur son chemin, apr�s ce pique-nique... pour le moins �pic�. P�ch� ou bonne action, je ne saurais dire � quelle cat�gorie appartenait la sc�ne � laquelle je venais d�assister. Mais la ferveur avec laquelle elle avait �t� jou�e m�a, pour le moins, troubl�. Je bandais encore tout le long du retour vers la station, pendant qu'elle me racontait le plaisir qu�elle avait eu � l�cher prise avec un autre homme. Paradoxalement, j��tais aux anges. *** Merci d'avoir �cout� D�ferlante, le podcast �rotique de vos r�cits tellement sexy. Si vous avez un texte ou une histoire � partager, n'h�sitez pas... ce podcast est le v�tre.